Soirées de la semaine à venir

Cette semaine au café, toutes les soirées proposent des animations !

 

Lundi 13 : Rencontre avec Julien Nugues-Schönfeld autour de son livre "Le Violon" (20h-21h30)

 

La découverte fortuite d’un étui en cuir marron sur une étagère dans la cave de ses grands-parents entraine Julien dans une quête, l’histoire de ses ancêtres. Julien écrit son premier livre en hommage à son grand-père Papou. Ce voyage poignant vous mènera du début du XXe siècle de l’Allemagne à la France d’aujourd’hui. À l’histoire des réfugiés juifs allemands, l’histoire d’un grand-père et de son petit-fils

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Mardi 14 : Caf' contes (20h30-22h30)

 

Simplement le plaisir de dire et d’écouter des histoires de toutes sortes.

Animé par Fred.

 

Mercredi 15 : Café Occitanas (20h30-22h30)

 

Rencontre avec l'auteur Gérard Tautil au sujet de son livre Contratèmps. Letras sos l'Occitania e l'occitanisme / Contretemps. Lettres sur l'Occitanie et l'occitanisme paru en 2022 (https://www.pressefederaliste.eu/Gerard-Tautil-Contretemps-Lettre-sur-l-Occitanie-et-l-occitanisme), en partenariat avec la Presse fédéraliste (https://www.pressefederaliste.eu/)

 

Jeudi 16 : Café polyglotte' (20h30-22h30)

 

Échanger avec des personnes de toutes les cultures pour pratiquer différentes langues !

 

Vendredi 17 : Théâtre d'improvisation - Le cercle des chouettes distordu.e.s (20h30-22h30)

 

Samedi 18 : La Nuit de l’Écriture contre les Machines (20h30---)

 

Jeux d'écriture conviviaux jusque tard dans la nuit
Avec le collectif Les Plumards

 

 

 

A noter aussi que le vendredi 17, à partir de 14h, commencera l'accueil de l'artiste plastique William Thomy  dans le cadre des Arts en Balade.

 

Le mot de William sur son exposition : "Dans mes créations, je cherche à intégrer mon rapport actuel au monde dans un univers fantastique et mythologique, peuplé de reliques perdues dans un foisonnement de textures, de végétation sauvage et de couleurs.

Les figures que je représente sont des fusions, des êtres à demi statufiés, qui se retrouvent littéralement enfermés dans un entre-deux inconfortable, un immobilisme partiel. Cette peur de l’inaction est un sentiment que beaucoup de gens de mon âge ressentent face à l’anxiété sociale et climatique. Mais dans le même temps, je cherche dans ces figures une forme de sérénité. Une pause méditative forcée par cette “pétrification”. Éloge du temps long et refus de l’apathie se retrouvent alors à cohabiter étrangement."